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Mois : mai 2023

Mai 2023 : séances et animations du CDI

Dans cet article, je reviens sur les activités menées au CDI, au lycée et à l’extérieur entre le 9 et le 26 mai.

Du fait de ce mois de mai qui ressemble quelque peu à un gruyère, et comme la fin des cours est prévue le 9 juin, j’ai de plus en plus l’impression de ralentir la cadence dès le retour des vacances d’avril.

Cet article se concentrera donc en grande partie sur la refonte de la signalétique amorcée le mois dernier.

Sélections thématiques / valorisation du fonds

Pour cette période, nous avons laissé l’ensemble des expositions proposées le mois précédent, et comme j’étais mobilisée pour les oraux du CAPES interne la dernière semaine avant les vacances d’avril, c’est Roman qui était à l’initiative des nouvelles expositions proposées.

Voici donc les expositions toujours en cours :

  • la sélection développement durable installée depuis octobre ;
  • la sélection sur « Lutter, militer, réfléchir » proposée en février ;
  • la sélection « Destins hors normes » proposée en mars ;
  • les dernières nouveautés

Les nouvelles sélections proposées sont les suivantes :

  • English enthusiasts (sélection élèves)

En lien avec la refonte du rayon en version originale, la réception de nouveautés en anglais, une sélection d’ouvrages a été proposée par les élèves participant à un atelier lecture animée par une collègue d’anglais :

  • Sélection de la personnalité élue par le lycée (J)

Le lycée est porteur d’un projet depuis le début de l’année à l’initiative notamment de l’équipe d’histoire-géographie : « Réconcilier les mémoires ».

J’en avais brièvement parlé en abordant les séances menées avec des classes en EMC et au mois de février, lorsqu’une sélection sur les mémoires de l’esclavage et de la colonisation avait été installée au CDI.

En effet, dans le cadre de ce projet mené au sein du lycée et s’appuyant sur le dispositif Facing history, les élèves de différentes classes devaient réaliser des affiches sur des personnalités françaises issues de l’immigration.

Un vote a eu lieu au mois d’avril pour désigner la personnalité qui devait donner son nom à l’une des salles du lycée, voire à l’une des rues de la ville (sans pour autant la débaptiser de son ancien nom).

Le dépouillement a eu lieu à la mi-avril. Une cérémonie a été organisée le 12 mai en présence du préfet de l’Essonne, des maires de Sainte-Geneviève-des-Bois et de Morsang-sur-Orge, d’un membre de l’association Facing History, pour donner le nom de Joséphine Baker à la salle de conférence du lycée.

À cette occasion, j’ai donc commandé (un peu en catastrophe, du fait des délais relativement courts) une sélection d’ouvrages pour le CDI et un kakémono pour la nouvelle salle.

  • Sélection géographie (R)

Une sélection un peu dépaysante a été proposée par Roman pour permettre aux élèves de s’évader à l’occasion de cette année qui tire sur sa fin.

En dessous de cette sélection était exposé le travail d’élèves de première réalisé dans le cadre d’un projet mené avec leur professeure d’histoire géographie autour de l’exposition universelle de 1900.

De l’autre côté de cette sélection Géographie, était également proposé l’un des derniers puzzles collaboratifs de l’année :

Séances et actions pédagogiques

Pour cet article, je reviendrai sur les séances menées entre le 9 et le 26 mai, qui sont uniquement des séances en continuité de projets déjà amorcés ou des reprises avec d’autres classes de séances déjà proposées durant l’année.

  • SNT Réseaux sociaux avec deux classes de seconde (2h). En fonction des classes, les activités ont été adaptées.

Pour la première classe : réalisation d’une carte mentale, escape game « Zone blanche » et choix d’un réseau social à présenter. Pour la deuxième classe : escape game « Zone blanche » et choix d’un réseau social à présenter, puis travail sur cette présentation la deuxième heure.

  • Séance Revue de presse avec une classe de seconde (1h) : durant cette séances, les élèves devaient finaliser leurs recherches sur les réfugiés d’un pays et la réalisation d’une revue de presse sous forme d’infographie.
  • Accueil de classes en EMC
  • Accompagnement à la préparation du grand oral pour les élèves de spécialité SES (5h)
  • La séance « S’informer » en HGGSP Première déjà mentionnée au mois de mars, avec deux autres groupes de spécialité (2h pour le premier, 1h pour le deuxième).

Activités de gestion

À nouveau, l’activité qui m’a le plus occupée ce mois-ci, et qui va me permettre de modifier l’organisation à venir de mes séances de visite du CDI en septembre pour les élèves de secondes, c’est la refonte de la signalétique, avec de nouveaux visuels pour les têtes de rayons réalisés sur Canva.

J’avais commencé assez modestement à reprendre le visuel du rayon langues étrangères :

J’ai ensuite utilisé le même fonds pour la présentation générale du rayon Fictions :

J’ai ensuite réutilisé le visuel des six rayons présentés pour le décliner sur chacun d’entre eux :

Concernant les têtes de rayons pour les documentaires, j’ai également pris le temps de les refaire, la signalétique datant d’avant mon arrivée et Roman s’étant occupé des éléments de signalétique à l’intérieur des rayons.

J’ai hésité pour les fonds, je ne sais pas si cette signalétique aura ici sa forme définitive.

En gros, j’hésite à faire un fond coloré comme pour le rayon 900 (j’ai l’impression que ça ressort mieux) ou à garder un fond blanc pour la majorité des rayons. Et pour les informations présentes sur la signalétique avec un fond coloré, j’hésite entre un texte en blanc ou un texte en noir.

Voilà les différentes propositions, pour le rayon 300 :

  • Version fond blanc :

  • Version fond coloré texte en blanc :

  • Version fond coloré texte en noir

Pour l’instant, c’est la version sur fond blanc qui a été affichée sur les têtes de rayon, mais je n’exclus pas de changer de version, si jamais les suffrages se prononçaient en faveur d’un fond coloré…

Le premier objectif était de rénover cette signalétique qui commençait quelque peu à dater.

Le deuxième objectif, qui était davantage intéressé, était de profiter de cette rénovation pour corriger certains défauts de l’escape game que je propose aux élèves de seconde depuis l’an dernier, et en gros pour mettre au même niveau de difficulté les différentes équipes.

J’aurai l’occasion d’y revenir un peu plus en détail dans mon article du mois de juin.

Concernant les autres activités de gestion, nous amorçons tout doucement les tâches de fin d’année, et nous sommes également en attente des dernières commandes passées ou à passer.

Communication

Je reviens ici sur les publications proposées dans le blog du CDI à destination des élèves, des enseignants et du personnel, sur le blog « orientation », sur le blog « ressources numérique » et sur le bulletin de veille à destination des enseignants.

Cependant ces publications ont été un peu plus espacées sur cette période, et je n’ai tout simplement pas pris le temps de m’y consacrer.

Blog du CDI

Ce mois-ci je n’ai publié qu’un seul article sur ce blog, afin d’indiquer aux élèves les modalités de retours des documents, le tout assorti de l’affiche proposée l’an dernier :

Blog « Ressources numériques pédagogiques du lycée » / Blog
« S’informer sur son orientation »

Ma boîte mail étant un peu plus calme et la période des journées portes ouvertes se calmant un peu, je n’ai pas pris le temps durant ces quelques semaines de mettre à jour ces deux blogs.

Un article a été publié par Roman sur le blog « S’informer sur son orientation » pour partager la dernière newsletter du CIO.

J’ai relayé via le blog sur les ressources numériques des informations sur la préparation du grand oral.

Bulletin de veille E-INSTANT CDI

Concernant ce bulletin de veille que j’essaye d’envoyer à peu près régulièrement aux enseignants, je n’ai pas réussi à en proposer une mise à jour pour le mois de mai, avec un nouveau focus.

Je tâcherai donc d’en proposer une dernière mise à jour pour le mois de juin.

Autres activités (réunions, stages, déplacements)

Enfin j’en termine comme à mon habitude par les autres activités professionnelles de la période.

  • le 7 mai, nous avons envoyé avec Bénédicte Langlois notre candidature aux explorcamps pour la prochaine édition de Ludovia ;
  • le 9 mai, j’ai participé à la dernière réunion des professeurs documentalistes de notre bassin pour l’année scolaire 2022-2023 au lycée de Cerny ;
  • le 12 mai, j’ai participé à la cérémonie d’inauguration de la salle Joséphine Baker au lycée ;
  • le 15 mai, j’ai fait une visio avec ma collègue Émilie Baille, pour préparer le stage « Jouer au CDI : du jeu de société à l’escape game » organisé dans mon lycée ;

  • le 17 mai, j’ai participé à une réunion en ligne avec ma collègue et le chargé d’études de la DGESCO qui s’occupe de la publication sur la page Documentation du site Eduscol ;
  • enfin, le 25 mai (et le 30 mai prochain, puisqu’au moment où je publie cet article, je n’ai fait que le premier jour de ce stage), j’ai co-animé le stage « Jouer au CDI » avec ma collègue Émilie Baille.

Je profite d’ailleurs de cet article pour tirer mon chapeau à Émilie et la remercier de tout cœur pour ces quelques années à co-animer ce stage, ce qui fut un réel bonheur, puisque sont rarement rassemblés et à un tel degré dans une seule personne la gentillesse, la simplicité et les compétences, et je lui souhaite plein de bonnes choses puisqu’elle a décidé de m’abandonner pour l’académie de Créteil.

Elle n’est d’ailleurs pas la seule à faire cette migration pour des terres seine-et-marnaises et je profite donc de cet article pour saluer chaleureusement et sans aucune impartialité notre IPR rockstar préférée Martine Sache, unanimement appréciée sur le bassin de centre et sud Essonne et dont la relève risque d’être compliquée. Au plaisir de continuer à échanger avec vous !

D’ici là, je vous dis à très bientôt pour un nouvel article sur Cinéphiledoc !

La recette de la bonne humeur

Au moment où je commence à écrire cet article, nous sommes au lendemain du 27 janvier.

Oui j’ai décidément cette année une belle avance dans l’écriture de ces articles cinéphiles.

Si je rajoute que j’avais ce livre sur ma pile de lecture depuis le mois de décembre 2022, et que je l’ai également lu à cette période, cela peut donner une petite idée de mon rythme d’écriture de cette année.

Je n’ai pas eu de grandes difficultés, comme les années précédentes, à trouver ou à lire les ouvrages dont je souhaitais faire un compte-rendu, et j’aime bien profiter de quelques week-ends pluvieux ou grelottants pour écrire ces articles.

Pour celui-ci, le thermomètre est légèrement sous la barre des zéros degrés, mais il fait un grand soleil d’hiver par la fenêtre… de quoi avoir envie de se réchauffer avec un plat bien réconfortant.

Que mon article sorte au mois de mai ne change rien à la donne : le printemps aura fini peut-être par pointer le bout de son nez et d’autres recettes pourront aisément convenir.

Si je me suis décidée à écrire cet article juste après le 27 janvier, c’est parce que le livre qui était sur ma pile de lecture s’intitulait : En cuisine avec Louis de Funès, et parce que le 27 janvier dernier marquait les quarante ans de la disparition de cet acteur mythique.

C’est donc après avoir vu passer un certain nombre d’interviews, de reportages, d’extraits de films (et de films en totalité), d’images d’archives, que j’ai repris ce livre lu en décembre et me suis replongée dedans pour vous en donner un aperçu.

Les comédiens dans ma bibliothèque : état des lieux

J’ai sans doute eu déjà l’occasion d’en parler sur ce site – j’ai dû avoir trois ou quatre fois l’occasion d’évoquer Louis de Funès dans des articles qui lui étaient exclusivement consacrés.

C’est moins que Truffaut ou Romy Schneider, moins qu’Hitchcock ou Chaplin, mais cela reste pour le coup certainement l’acteur masculin dont j’ai parlé le plus – peut-être à égalité avec Lino Ventura.

C’est curieux d’ailleurs : ayant une certaine prédilection pour le cinéma hollywoodien, et me concentrant dans mes lectures soit sur des domaines transversaux, soit sur des figures de réalisateurs, je me rends compte que c’est finalement les comédiens français qui prédominent (et généralement toujours les mêmes : un panthéon féminin composé de Romy, Signoret et Girardot) dans ma bibliothèque, si l’on excepte deux figures : Audrey Hepburn et Marilyn Monroe.

Même les plus appréciés y sont moins à l’honneur : l’autobiographie de Lauren Bacall, deux livres sur Humphrey Bogart, deux sur Cary Grant, un livre sur Grace Kelly et un sur Greta Garbo…

Un comique à bonne maturation

Comme je le disais un peu plus haut, c’est donc Louis de Funès (avec Lino Ventura) qui a généralement eu les honneurs de ce site, ce qui m’a toujours paru quelque peu inattendu, étant donné le temps que j’ai mis à l’apprécier.

Mes parents lui préféraient toujours Bourvil et m’avaient appris à le trouver insupportable et gesticulant. C’est avec ce genre de préceptes que l’on construit d’abord sa cinéphilie puis qu’on la reconstruit avec un nouveau regard une fois que l’on a appris à aimer les choses par soi-même… Ainsi :

  • non, Vivien Leigh n’était pas forcément dans la vie en tout point conforme à Scarlett O’hara (même s’il est désormais avéré que son trouble bipolaire n’en faisait pas la personne la plus facile à vivre)
  • non, je ne déciderai pas de préférer Dewaere à Depardieu (quoique) ou Dorléac à Deneuve parce que les premiers ont eu le malheur de mourir tragiquement
  • oui, on peut apprécier De Funès autant que Bourvil parce que leur art comique repose sur des ressorts complètement différents et donc complémentaires

Au fur à mesure, le charme a fini par opérer, au gré des rediffusions régulières de ses films et de l’exposition organisée par la Cinémathèque qui lui rendait enfin l’hommage mérité.

Alors le nombre d’articles qui lui est consacré sur ce site, je ne sais plus… mais je suis sûre pour le coup d’avoir déjà parlé d’un compte Twitter que je suis avec assiduité et qui fait mes délices :

au même titre que le compte Twitter et le compte Instagram qui reprennent des images des films d’Yves Robert Un éléphant ça trompe énormément et Nous irons tous au paradis… mais je m’égare une fois de plus !

J’échange régulièrement avec une amie quelques répliques de La Folie des grandeurs ou de La Grande vadrouille, qui viennent agrémenter nos conversations au milieu de citations de Kaamelott ou de quelques « Papuche » bien senties tirées de Moi moche et méchant.

Au palmarès de ces répliques : « Qu’est-ce que je vais devenir ? Je suis ministre, je ne sais rien faire » et « Non sire, pour une fois c’est pas moi, j’étais là, je priais. »

Un film de De Funès, c’est comme un bon petit plat… ça réchauffe.

Ynnis Éditions

On voit qu’avec la phrase précédente, je soigne mes transitions (ou pas). L’ouvrage qui m’intéresse aujourd’hui, En cuisine avec Louis de Funès, a été publié chez Ynnis Éditions en décembre 2022.

C’est un livre à six mains : comme on le découvre dès les premières pages : « Minh-Tri Vo aux fourneaux, Photographies mitonnées par Marion Saupin, Contextes concoctés par Eugénie Michel ».

J’ai déjà eu l’occasion d’évoquer ici quelques-unes des publications d’Ynnis Éditions, des ouvrages qui retiennent souvent mon attention non seulement par leur thématique mais aussi par le soin apporté à leur mise en page.

Parmi mes préférés, on retrouve la collection « Hommages » dont voici en images quelques exemples :

un bon nombre de livres sur le cinéma d’animation japonais, l’ouvrage Voyage avec Chihiro de Marta Garcia Vilar dont j’ai parlé l’an dernier, et quelques livres de recettes.

La grande majorité de ces derniers concerne l’univers Ghibli ou le cinéma d’animation, avec parmi eux trois exceptions au moment où j’écris cet article :

Lorsque j’ai appris ces publications, j’étais déjà décidé à me procurer le livre consacré à Louis de Funès. Un manque d’attention m’a fait croire que le deuxième livre était consacré à Jurassic Park, et quand je me suis rendu compte de mon erreur, ce qui dans ma tête pouvait être un article sur les livres de cuisine en général s’est transformé en article sur Louis de Funès. Tant pis, ou tant mieux.

Si je peux garder une idée spécifique aux livres de cuisine que j’ai pu feuilleter ces derniers temps, c’est là encore le soin apporté à la mise en page, et que justifie les six mains associées à la conception : un cuisinier, un auteur qui va ici se pencher sur les « contextes » et un photographe qui va donner reproduire fidèlement les plats réalisés dans les films et donner envie au lecteur, à son tour, de passer aux fourneaux.

En cuisine avec Louis de Funès

L’ouvrage propose dix-neuf recettes. Dix-huit d’entre elles sont tirées des films cultes de Louis de Funès, à commencer par La Soupe aux choux et en terminant par un cheesecake qui apparaît dans Les Aventures de Rabbi Jacob.

La dernière recette est celle d’un des plats préférés de Louis de Funès : le canard à l’orange.

Chacune des recettes est introduite par une double-page de contexte qui revient sur la scène du film et le film en lui-même dont la recette est tirée.

Voici un exemple avec La Soupe aux choux :

Puis on passe à la recette en elle-même, sur plusieurs pages en fonction du degré de complexité de cette dernière :

Feuilleter ce livre procure un réel plaisir, car certains films avec Louis de Funès sont de véritables odes à la gourmandise. Évidemment on songe à L’aile ou la cuisse ou au Grand restaurant. Et l’on ne se restreint pas à la cuisine française, puisque sont évoquées la culture japonaise grâce à La Zizanie, ou les affres de la cuisine anglaise grâce aux Grandes vacances (sans toutefois qu’une recette du repas que subit Michonnet soit retenue).

De mon côté j’ai une tendresse toute particulière pour la mère supérieure dans La Grande Vadrouille qui sort à Big Moustache : « Vous aimez bien tout ce qui est bon ? eh bien c’est très mauvais ». Et je pense régulièrement à ces images d’archives de Louis de Funès, faisant l’éloge des produits de son jardin :

Après avoir évoqué Lino Ventura et sa cuisine (un peu plus gargantuesque) dans mon article de février, je poursuis cet itinéraire cinéphilo-gastronomique avec Louis de Funès.

L’ouvrage réussit à merveille le pari à la fois de nous donner envie de cuisiner et de revoir les films qui y sont évoqués.

Mon seul regret ? Que ne soit pas reproduite la recette du soufflé à la pomme de terre donnée à Herr Muller dans cette scène mythique du Grand restaurant :

car pour connaître cette scène quasiment par coeur, j’aurais adoré pouvoir la retrouver sous la forme d’une recette réalisable… peut-être à retrouver ailleurs ?

Espérant vous avoir mis de bonne humeur avec ces évocations cinéphiles et culinaires, je vous souhaite un excellent appétit et vous dis à très bientôt pour un nouvel article sur Cinephiledoc !

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