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Blog pour cinéphiles et profs docs

Mois : février 2019

Février 2019 : séances et animations du CDI

Pour ce mois de février qui a filé très vite, je vais vous présenter un peu plus en détails le projet que j’ai mené avec Perrine Chambaud, #profdoc dans l’académie de Guyane et qui constitue, avec « Adopte un poilu », mon autre projet phare de l’année.

Avant toute chose, je vais revenir sur les quelques animations que j’ai pu mettre en place entre la fin janvier et la fin février.

Animations

  • Mini-exposition Mendeleïev

À la demande d’une de mes collègues de physique-chimie, j’ai proposé un temps fort au CDI autour de l’année internationale du tableau périodique des éléments.

J’ai donc proposé aux élèves une sélection de ressources, ainsi qu’une présentation intégrée sur la page d’accueil d’E-SIDOC sur Dmitri Mendeleïev et son tableau périodique.

Ces ressources ont été proposées aux élèves de la mi-janvier au 22 février.

  • Safer Internet Day

Pour le Safer Internet Day, j’ai proposé aux élèves quelques affiches, une table de documents et une sélection de marques-pages que j’avais déjà proposés l’an dernier pour la semaine de la presse : chacun propose une information insolite sur un outil connu des élèves : Google, YouTube, Twitter et Wikipédia.

  • Un mois, une découverte littéraire : Jules Verne

J’ai repris avec retard la valorisation de mon fonds littérature en proposant une sélection autour de Jules Verne et de la science-fiction.

Pour cette sélection, à chaque fois : une citation et un renvoi vers des lectures en ligne sous forme de QR-codes à flasher.

  • Puzzle participatif

Enfin, pour cette partie animation, j’en viens à un dispositif qui a eu son petit effet et dont je dois l’idée à Anne-Lise Dupont qui l’a relayé sur Twitter : l’installation d’un puzzle participatif au CDI.

Même si les élèves n’ont pas pu terminer le puzzle dans les temps impartis – ce qui le fait rester au CDI un peu plus longtemps, ils ont beaucoup apprécié cette initiative et plusieurs ont demandé que d’autres puzzles soient mis à leur disposition.

Séances et présentations

Rapidement je reviens sur quelques séances que j’ai animées ou auxquelles j’ai assisté, avant d’en arriver au projet « Parcours croisés » :

  • poursuite des séances de formation auprès des élèves de seconde : j’ai déjà vu deux classes, j’ai commencé pour deux autres (suite des séances après les vacances)
  • poursuite des séances d’arts visuels : écriture d’un scénario, histoire du cinéma, construction d’un thaumatrope et d’un flipbook et visionnage de La Rose pourpre du Caire
  • fin des séances de TPE. J’ai assisté à un oral de TPE d’élèves de 1L qui avaient comme production et présentation un escape game. J’en dirai plus le mois prochain.

Voilà pour ces quelques séances, j’en viens au projet « Parcours croisés ».

Parcours croisés

Comme je l’avais brièvement évoqué dans l’article précédent, « Parcours croisés » est un projet à quatre mains (voire bien plus) que nous avons élaboré avec Perrine Chambaud autour des pratiques informationnelles.

Comme je le précisais le mois dernier :

C’est un projet mené en collaboration avec Perrine Chambaud, professeure documentaliste, et des enseignants d’histoire-géo, SES et EMC, qui implique une classe de première ES et qui a pour but de les faire échanger sur différents supports de communication avec les élèves de 1ES du lycée Gontran Damas de Rémire-Montjoly (académie de Guyane) en prenant appui sur divers éléments des programmes disciplinaires.

Vous en avez eu un bref aperçu avec les échanges sur Twitter des deux classes respectives.

Il est maintenant temps d’en dévoiler davantage.

La marmite de cogitations des Parcours croisés

Depuis mai dernier, nous réfléchissons à l’élaboration de ce projet avec Perrine. Nous avons mis sur le même document nos premières idées, nos envies, nos ébauches de collaboration inter-disciplinaires, les outils que nous voulions mettre en place, le calendrier.

Cela s’est compliqué avec l’annonce de mon rendez-vous de carrière, initialement prévu pour janvier, et décalé du fait des événements de décembre, à début février. En effet, je trouvais intéressant que l’inspectrice assiste à l’une des séances qui se déroulaient dans le cadre de ce projet.

Nous avons donc organisé la séance initiale : la prise de contact sur Twitter, puis j’ai envoyé notre « marmite de cogitations » en guise de scénario pédagogique. Cela me semblait plus pertinent et plus intéressant qu’une simple grille de scénario.

Et donc voilà le bébé :

Projet “Carnets croisés de pratiques informationnelles”

Les temps forts du projet

  1. Prise de contact : sur Twitter (mi janvier)
  2. Janvier-février : phase 1, programme de géo. Présenter son territoire de proximité sur un Padlet, soit en hiérarchisant l’information et en utilisant les colonnes du Padlet (côté Guyane), soit en déposant sur le Padlet des infographies réalisées sur Piktochart (côté Versailles)
  3. Mars-mai : phase 2, programme de SES/EMC : participer à des enquêtes croisées de pratiques informationnelles et traiter les résultats.
  4. Valorisation et poursuite du projet : ce projet fait l’objet de publications régulières sur un blog hébergé par l’académie de Versailles. L’idée est de continuer à nourrir ce blog par les prolongements qui pourront être mis en place l’an prochain ou les années à venir.

Rendez-vous de carrière : phase 1, séance 2

Cette séance a eu lieu le 14 février 2019, avec la classe de 1ES1 et en collaboration avec ma collègue d’histoire-géo.

Pour cette séance, je me suis appuyée sur deux documents que j’ai mis à disposition des élèves, afin qu’ils réalisent des infographies sur leurs territoires de proximité à l’aide du logiciel Piktochart.

Sur l’écran « professeur » de la salle : les deux documents d’aide, ClassroomScreen et les deux Padlets, côté Damas et côté Einstein.

Sur les ordinateurs des élèves : un dossier, avec à leur disposition les deux documents d’aide en version numérique et des images déjà téléchargées dont la réutilisation était autorisée.

Déroulé de la séance :

  1. Présentation des documents d’aide
  2. Mise en activité des élèves en autonomie
  3. Reprise : sauvegarde des infographies, présentation des travaux réalisés par leurs camarades de Guyane. La finalisation des infographies devait avoir lieu le lendemain dans la même salle.

Cette séance s’est très bien passée, avec une classe comme d’habitude vivante, réactive et dynamique, qui ne s’est pas laissée impressionner par la présence de l’inspectrice et de la proviseure.

Encore un grand merci à Perrine de m’avoir permis de présenter une partie de ce projet pour mon rendez-vous de carrière.

Publications et valorisation

Voici les travaux réalisés sur Padlet par les élèves de Guyane :

Je rajouterai le Padlet côté Einstein quand il sera finalisé pour nos élèves.

Voici le site qui présente au fur à mesure l’ensemble du projet (et sur lequel il faut que j’ajoute les éléments les plus récents) :

http://blog.ac-versailles.fr/damaseinstein/index.php/

La phase 2 du projet est en cours de construction, avec déjà un collègue de SES qui a réalisé une enquête auprès de la classe et dont les résultats, ainsi que l’enquête, ont été communiqués aux collègues de Guyane.

L’inspectrice a émis le souhait que pour Versailles, le projet fasse l’objet d’une publication sur le site académique des professeurs documentalistes.

J’espère n’avoir rien oublié : je laisse Perrine me corriger dans le cas contraire !

Réunions et autres activités professionnelles

Voici les réunions que j’ai animées ou auxquelles j’ai assisté ce mois-ci, ainsi que les autres activités (au CDI ou en dehors) que j’ai pu mener.

Activités :

  • deux commandes de nouveautés, principalement pour alimenter le rayon histoire-géo
  • mise en forme des résultats de l’enquête mené auprès des enseignants dans le cadre de l’élaboration de la politique documentaire du lycée

  • 5 février : co-animation d’une formation sur la construction d’une progression en EMI auprès des néo-titulaires deuxième année en documentation (groupe du 91)

Réunions :

  • 6 février : j’ai assisté à une animation sur les Tiers Lieux au lab 110 Bis
  • 7 et 8 février : co-animation du séminaire des IAN Documentation

#LudoDOC

Je profite de cet article pour faire un petit point sur le collectif #LudoDOC, qui avait pris ses quartiers d’hiver du fait de nos nombreuses activités respectives, et qui commence à se réveiller.

Nous allons bientôt publier une série d’articles sur le site, selon une thématique bien particulière et en lien avec le thème de cette année de Ludovia16.

Je vous redonne ici quelques infos, déjà évoquées dans l’article précédent :

Si vous souhaitez envoyer votre témoignage de profdoc sous la forme d’une interview, d’un texte, n’hésitez pas à nous envoyer un mail à l’adresse suivante :

collectif.ludodoc@gmail.com

Si vous voulez nous présenter un projet pour que nous puissions continuer à nourrir le site en articles valorisant des profs docs, vous pouvez compléter le formulaire directement sur la page d’accueil de #LudoDOC :

Accueil

Enfin, si vous souhaitez participer au prochain événement associé #LudoDOC en août 2019 à Ludovia, remplissez dès maintenant le formulaire ci-dessous :

https://goo.gl/forms/ViF5K67xtVx86cBl2

J’en profite pour vous signaler l’ouverture d’une cagnotte sur Leetchi afin de nous permettre de faire vivre ce collectif et de vous accueillir dans les meilleures conditions possibles à Ludovia : n’hésitez pas à participer !

https://www.leetchi.com/c/ludodoc

En espérant vous retrouver nombreux cette année, à très bientôt sur Cinéphiledoc !

Courses-poursuites et arrêts sur image

Pour ce premier article cinéphile de 2019, je vous propose un petit retour sur deux publications de 2018, que j’ai souhaité associer.

Et si j’ai choisi ces deux publications, c’est parce qu’elles s’intéressent, selon moi, à deux aspects du cinéma, sinon contradictoires, du moins complémentaires, à savoir, les courses-poursuites, ces moments où tout s’accélère, et les arrêts sur image, ou du moins les plans cultes du cinéma, où l’oeil du cinéaste semble se figer pour nous désigner quelque chose à garder en mémoire.

Je vous propose donc de commencer par une bonne course, pour ensuite nous détendre et nous délecter de quelques plans d’anthologie.

Courses-poursuites au cinéma

L’ouvrage consacré à ces moments d’accélération et d’adrénaline qui m’intéressent aujourd’hui est un petit livre publié en mai 2018 chez Aedon productions / La Septième obsession, dans la collection Détails : il s’agit des Courses-poursuites au cinéma, de Nicolas Tellop.

J’ai eu beaucoup de plaisir à voir qu’un deuxième opus de cette collection était sorti. En effet, en juillet 2017, Aedon productions avait publié Les Mains au cinéma, de Sandrine Marques.

Ces petits ouvrages sympathiques, qui mettent en lumière l’une des obsessions du septième art (comme l’indique si justement l’autre nom de cette maison) et s’intéressent à des détails qui peuvent paraître triviaux au profane, sont pour moi la continuité des vidéos que propose la chaîne Blow Up sur YouTube, chaîne dont j’ai déjà abondamment parlé, et j’en profiterai pour ponctuer ce compte-rendu de quelques exemples…

J’avais déjà « encensé » et présenté en long, en large et en travers cette chaîne YouTube, à l’occasion justement de mon compte-rendu sur les Mains. Pour ceux qui veulent en savoir un peu plus, c’est par ici :

Jeux de mains, jeux de cinéma

Blow Up est l’une des pépites qui nous a été offertes par la chaîne Arte, et qui, à mon sens, devrait être toujours un peu plus connue, au même titre que l’émission Personne ne bouge (qui malheureusement a été arrêtée) ou encore Stumm, le magazine du cinéma muet.

Bref, régulièrement Arte – qui lorsque j’étais petite avait à mes yeux l’étiquette de chaîne intello – propose des petits bijoux de culture.

Et ça y est j’ai perdu le fil… j’en étais à vous parler de ce petit livre de Nicolas Tellop sur les courses-poursuites.

Le coup de génie de cet ouvrage, qui, comme le précédent sur les mains, propose une sélection de films en lien avec la thématique retenue, c’est de rappeler l’évidence : la course fait partie de la vie, et a fortiori du cinéma.

Je suis convaincue que chacun de nous, s’il ferme les yeux, peut voir une scène de marche ou de course au cinéma. Pour ma part, je vois la scène finale des Quatre-cents coups, avec Antoine Doinel qui court sur la plage, et les jambes des femmes de L’Homme qui aimait les femmes :

Les jambes des femmes sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tous sens, lui donnant son équilibre et son harmonie.

Mais mon univers n’est pas exclusivement truffaldien, et j’ai retrouvé, parmi les films que cite Nicolas Tellop, beaucoup de souvenirs.

La chronophotographie, et les travaux de Marey et de Muybridge, sont la première étape de son voyage.

Ce que j’ai apprécié dans ce livre qui propose une petite sélection subjective, c’est de citer des films de tous genres et de toutes époques, du Mécano de la Général à Baby Driver, et cela sans exclure les cartoons de la Warner et de Tex Avery.

On y retrouve quelques monuments d’anthologie, à savoir La Chevauchée fantastique, Duel ou Matrix, pour ne citer qu’eux, et si l’auteur choisit tel film plutôt que tel autre, il n’est pas avare non plus de références ou de clins d’oeil au détour d’une page.

Le tout se lit agréablement, en reprenant de temps en temps son souffle d’une scène à l’autre, et en se remémorant encore d’autres scènes de courses-poursuites, pour moi une des premières scènes du Cirque de Chaplin :

(j’en profite, nouvelle digression, pour rappeler que la chaîne YouTube Charlie Chaplin Official a réalisé en décembre 2017 un superbe abécédaire, en anglais et en français sur Chaplin)

ou encore les scènes de poursuite de La Mort aux trousses, et pas seulement celle avec l’avion, mais aussi celle au sommet du mont Rushmore :

Et ceci me permet de faire la transition avec ma deuxième lecture, parue elle en novembre 2018.

De la course à l’instant

Lorsque j’ai appris que François Theurel, alias Le Fossoyeur de films – sortait un livre, je l’ai immédiatement commandé.

Bien que je ne maîtrise pas toujours les sujets qu’il aborde dans ses vidéos, et que je n’ai pas toujours vu les films qu’il évoque, j’aime sa façon de parler du cinéma.

J’apprécie particulièrement ses anciens numéros où il abordait le film noir ou la mythologie au cinéma, j’ai adoré ses vidéos postées sur DailyMotion, Film wars.

J’aime beaucoup aussi ses apartés :

ou encore des épisodes du Fossoyeur consacrés à Zardoz, aux nanars, et mes deux préférés : Dracula et Le Nom de la rose.

Dans T’as vu le plan ? : 100 plans cultes (ou pas) et ce qu’ils nous apprennent sur le cinéma, publié en novembre 2018 aux éditions Tana, on retrouve dans sa manière d’écrire sur le cinéma, sa manière de nous parler du cinéma. Et déjà c’est un plus.

Ensuite, bien évidemment, on retrouve sa sélection subjective de plans au cinéma. Il y avait donc un certain nombre de films que je n’avais pas vus et sur lesquels je ne pouvais pas juger cet ouvrage. Mais ce sont autant de films que j’ai eus envie de découvrir.

Et je me suis raccrochée à ceux que je connaissais déjà.

Le livre est construit en 9 parties :

  1. Plans cultes
  2. Plans claques
  3. Prouesses
  4. Plans tableaux
  5. Détails géniaux
  6. Temps
  7. Quatrième dimension
  8. Dommage
  9. Fragments d’enfance

Chaque double page est consacrée à un plan culte : à sa façon, François Theurel nous présente le plan, et il en profite pour nous glisser quelques notions clefs du cinéma : travelling, champ-contrechamp, spoiler, grand angle, etc.

Parmi ces films, et à vous de retrouver dans quelles parties ils se trouvent, j’ai retrouvé Orange mécanique, Blade Runner, Psychose, La Communauté de l’anneau, Aliens, Steamboat Bill Jr, La Vie aquatique, Harry Potter et la coupe de feu, Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre, Le Septième sceau, Les aventuriers de l’arche perdue, ET l’extraterrestre, Star Wars épisode II, X-Men, Shutter Island, Le Nom de la rose, Monty Python : Sacré Graal ! et West Side Story.

C’est donner une idée déjà de la diversité des plans choisis par François Theurel. C’est dire aussi si le lecteur, même néophyte, peut s’y retrouver.

Le fossoyeur nous entraîne de Kubrick à Hitchcock en passant par Bergman ou Spielberg.

Le choix de Psychose m’a fait repenser à un formidable documentaire, là encore diffusé sur Arte : 78/52, disponible en DVD, avec pour synopsis ce qui suit :

En 78 plans et 52 coupes, la scène culte du meurtre sous la douche de Marion Crane par Norman Bates dans Psychose, chef-d’oeuvre de montage, est une scène légendaire qui a bouleversé à jamais les codes du cinéma mondial. Profanant avec délice le sanctuaire blanc de la salle de bains, le maître du suspense Alfred Hitchcock libérait dans cette scène une libido et une agressivité refoulées sous le carcan victorien. Sentant l’époque changer, à l’aube d’une décennie 1960 marquée par les violences raciales et les émeutes, il envoyait aussi un message à une Amérique jugée trop candide : même sous la douche, on n’est plus en sécurité !

Je recommande ce documentaire à tous les amateurs d’Hitchcock, et j’en reviens au livre du fossoyeur.

Chaque page est illustrée du plan en question, et à l’image de Boby Lapointe dans Tirez sur le pianiste, premier chanteur sous-titré, François Theurel est, sauf erreur de ma part, l’un des premiers à faire un livre souligné.

Si l’on entend aussi bien sa voix lorsqu’on le lit, c’est grâce à ces simples effets de police : texte souligné, majuscules, phrases mises en exergue et ponctuant le texte avec érudition, aparté, et humour (« Je répète, ce n ‘est pas un exercice : LA MORT SCIE UN ARBRE »).

J’ai adoré retrouver le regard caméra d’Alex dans Orange mécanique, et comme pour le premier livre sur les courses-poursuites, les détails et les plans choisis sont inattendus, m’ont rappelé des instants des films dont je ne me souvenais pas forcément (la mort qui scie un arbre dans Le Septième sceau, le moine sens dessus dessous dans Le Nom de la rose) et en ont immédiatement évoqués d’autres.

Pour moi évidemment, des films de Truffaut, d’Hitchcock, de Chaplin, mais aussi les plans hauts en couleurs de Wes Anderson, l’atmosphère de Barry Lyndon chez Kubrick, des dessins animés aussi bien de Disney, Miyazaki, encore une fois les cartoons de la Warner et de Tex Avery, le plan sur Bogart dans Casablanca, le plan sur Bacall dans Le Port de l’angoisse, les épisodes de la trilogie de Star Wars, et plus récemment tous les films de Christopher Nolan et La Forme de l’eau, pour ne citer qu’eux.

Pour tous ces instants de cinéma, pour ces courses-poursuites et ces moments suspendus, merci à Nicolas Tellop et à François Theurel.

J’espère avoir suscité chez vous un nombre infini de souvenirs cinéphiles et je vous laisse les savourer…

À bientôt sur Cinéphiledoc !

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