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Blog pour cinéphiles et profs docs

Mois : mars 2023

Mars 2023 : séances et animations du CDI

Dans cet article, je reviens sur les activités menées au CDI, au lycée et à l’extérieur entre le 6 et le 24 mars, ces dernières étant principalement dédiées à des réflexions professionnelles et à la préparation de la semaine de la presse.

Concernant la semaine de la presse, j’évoquerai ici principalement les animations proposées, et garderai la présentation des séances pédagogiques menées pour le mois prochain.

Activités ludiques : d’un Lego à l’autre

Le précédent puzzle collaboratif a été terminé le vendredi des vacances de février. Avec Roman, nous avions pour projet de commander un Lego, suite au succès remporté par la construction de la fusée Saturn V l’année dernière.

Cependant, nous n’avions pas encore pris le temps de passer cette commande, et nous avons voulu faire patienter les élèves en attendant.

Roman leur a donc proposé de déconstruire complètement la fusée pour la reconstruire.

La phase de déconstruction a pris une petite demi-journée. Quant à la reconstruction, elle s’est étalée sur un peu plus d’une semaine, ce qui a coïncidé parfaitement avec la réception du nouveau Lego.

Installations Semaine de la presse

Nous avons profité que les élèves de Terminales passaient les épreuves de spécialité et que les autres niveaux étaient libérés de cours pour préparer la semaine de la presse.

La sélection sur les médias et l’information remplace la précédente sélection sur les failles temporelles, et elle complète les liasses de périodiques envoyées par le CLEMI :

Le clou du spectacle est le nouveau Lego à construire, installé le 20 mars, que viennent compléter deux objets mis à disposition des élèves (davantage à des fins de décoration que de manipulation :

  • une machine à écrire Underwood que j’avais récupérée chez ma grand-mère (je profite des armoires de la réserve pour la stocker, la bestiole étant des plus encombrantes et pesant le poids d’un âne mort)
  • une plus petite de la marque Lisa 30, qui était à mon père, et que je gardais dans un de mes placards (beaucoup plus légère et facile à ranger chez soi)

Voici les différentes étapes de cette installation :

Un article est publié sur le blog du CDI pour inviter les élèves à réaliser différentes activités en lien direct ou indirect avec les « machines à écrire » :

Sélections thématiques / valorisation du fonds

Pour cette période, nous avons renouvelé certaines expositions proposées, et avons laissé les autres à disposition.

Sélections

Sur la période voici les expositions déjà présentées et conservées :

  • la sélection développement durable installée depuis octobre ;
  • la sélection sur « Lutter, militer, réfléchir » proposée en février ;
  • la sélection sur les mémoires de l’esclavage et de la colonisation, qui doit rester installée jusqu’au mois d’avril dans le cadre du projet « Réconcilier les mémoires » mené au lycée

Les nouvelles sélections proposées sont :

  • une sélection « Destins hors normes » qui s’appuie sur certains ouvrages reçus dans la dernière commande de documentaires (J)

Parallèlement à cette sélection, le visuel suivant, réalisé sur Canva, a été publié sur le blog du CDI :

  • dernières nouveautés

Avant la réception et le traitement d’une nouvelle commande, voici les derniers ouvrages reçus et présentés aux élèves :

Séances et actions pédagogiques

Pour cet article et comme je l’ai indiqué plus haut, je reviens seulement sur les projets menés entre le 6 et le 24 mars, qui se résument à une séance en première HGGSP.

En effet, j’évoquerai les séances proposées dans le cadre de la semaine de la presse dans l’article du mois d’avril.

HGGSP Première : S’informer

J’avais déjà mené cette séance en 2021 et en 2022. Pour cette année, je n’ai fait que la reprendre en l’actualisant quelque peu et en modifiant certaines activités.

La séance est en deux heures, durant lesquelles les élèves travaillent sur un atelier de leur choix, avant une mise en commun sur la dernière demi-heure.

Ils ont pour cela deux types de supports à leur disposition :

  • Livret d’activités réalisé sur Canva

Séance presse HGGSP 2023

  • Collection de ressources sur Pearltrees

Pour cette dernière, j’ai actualisé les ressources de certains ateliers et les thématiques à traiter, en m’appuyant sur le dossier pédagogique du CLEMI envoyé pour la semaine de la presse.

Cela a permis d’ajouter l’atelier 2 (qui n’était pas proposé les années précédentes) :

et d’actualiser les ateliers 4 et 5 :

Cette séance est globalement appréciée par les élèves et permet d’introduire l’axe thématique « S’informer » du programme.

Communication

Je reviens ici sur les publications proposées dans le blog du CDI à destination des élèves, des enseignants et du personnel, sur le blog « orientation », sur le blog « ressources numérique » et sur le bulletin de veille à destination des enseignants.

Blog du CDI
  • 9 mars : la sélection « Destins hors normes » présentée plus haut
  • 10 mars : un ZOOM Actu sur un an de guerre en Ukraine

  • 20 mars : 6 articles présentant les vidéos réalisées par les élèves de 2nde3 dans le cadre du projet « Réconcilier les mémoires » avec un collègue de SES et EMC (ces vidéos ont également fait l’objet d’une publication sur le site du lycée)
  • 21 mars : la présentation cliquable réalisée sur genially pour la semaine de la presse
Blog « Ressources numériques pédagogiques du lycée »

Durant cette période, ma boîte mail académique étant relativement calme, je n’ai pris le temps de poster qu’un article sur le blog qui reprenait le contenu d’un mail reçu sur ma boite académique :

Blog « S’informer sur son orientation »

La période étant très riche en journées portes ouvertes, nous dépublions sur ce blog les événements déjà passés et publions les nouveaux événements proposés, au fil des mails que nous recevons :

  • 7 mars : six articles
  • 9 mars : quatre articles
  • 20 mars : un article

La gestion des deux blogs ne m’a pas permis de mettre à jour mon bulletin de veille à destination des enseignants, si ce n’est assez tardivement pour la semaine de la presse.

Bulletin de veille E-INSTANT CDI

Concernant ce bulletin de veille que j’essaye d’envoyer à peu près régulièrement aux enseignants, j’ai réussi à en proposer une mise à jour pour les événements de mars, comme je viens de l’indiquer. Voici la page d’accueil :

Et la partie Focus :

Activités de gestion

Voici un petit récapitulatif des activités de gestion des dernières semaines :

  • la réception et le catalogage d’une commande passée en février
  • le suivi des retards (élèves et enseignants)
  • l’archivage des périodiques

Durant ce mois, Roman a proposé une refonte complète de la signalétique des documentaires, en s’inspirant de celle proposée par les professeurs documentalistes de l’académie de Guyane.

De mon côté, j’ai amorcé la refonte du rayon des fictions en langues étrangères. En effet, actuellement dans la base les fictions sont cotées de cette manière : ALL pour l’allemand, ANG pour l’anglais, ESP pour l’espagnol et ITA pour l’italien.

Pour les deux premières, cela génère donc sur le portail E-sidoc une confusion avec les albums. Nous avons donc décidé d’uniformiser le tout avec une cote VO et en ajoutant des étiquettes de couleurs qui permettront de distinguer dans le rayon les différentes langues. J’ai commencé avec les fictions en allemand et j’avance tout doucement.

Autres activités (réunions, stages, déplacements)

Enfin j’en termine comme à mon habitude par les autres activités professionnelles de la période.

J’ai participé le 10 mars à la réunion d’harmonisation pour l’admissibilité du CAPES interne de documentation.

La principale activité du mois a consisté en la co-animation avec ma collègue Audrey Démonière-Rouvel du séminaire des Interlocuteurs académiques pour le Numérique en Documentation.

Ce séminaire était organisé à Lille, grâce à la IAN de l’académie Mélanie Serret, et se tenait sur deux jours, les 16 et 17 mars.

Le 16 mars, nous étions accueillis par le Lycée hôtelier international de Lille (nous avons pu déjeuner au restaurant d’application du lycée et visiter le 3C qui nous a beaucoup impressionné), et le 17 mars par l’École Supérieure de Journalisme, qui nous a proposé une présentation de ses actions en EMI et une visite de ses locaux.

Le 16 mars, j’ai animé avec Marion Bazeaud, professeure documentaliste de l’académie de Besançon, un atelier sur les compétences transversales, à l’occasion duquel Marion présentait son projet pédagogique « Jeunes reporters pour l’environnement« .

De mon côté, j’ai essayé de proposé une réflexion sur l’appropriation des différents référentiels de compétences proposés, depuis les compétences EMI jusqu’à notre propre référentiel de compétences, en passant par les CPS ou le CRCN :

L’idée était pour moi assez simple : on met à notre disposition pour l’exercice de notre métier différents référentiels permettant d’évaluer des compétences transversales, et d’ailleurs on est confronté dans notre quotidien professionnel à différentes compétences.

En tant que professeur documentaliste, évidemment les compétences EMI constituent notre coeur de métier.

Mais l’on prépare les élèves à se projeter dans le monde professionnel via les compétences transversales, on cherche à développer leurs compétences psychosociales, et via les compétences du 21e siècle, le CRCN et la toute nouvelle charte pour l’éducation à la culture et à la citoyenneté numérique, on permet aux élèves d’évoluer dans une société numérique.

Enfin, en tant qu’enseignant, un référentiel de compétences définit nos missions et notre culture commune.

J’ai donc cherché à travers différents hashtags à retrouver dans ces référentiels les lignes de force communes.

Le 17 mars, après la présentation par les référentes TraAM des articles réflexifs proposées par leurs académies respectives, j’ai fait une présentation du dispositif des TraAM afin d’encourager les IAN et les équipes académiques à y participer.

Voilà pour ces activités de mars, je vous souhaite une très bonne semaine de la presse et des médias à l’école, et vous dis à très bientôt pour un prochain article sur Cinephiledoc !

YouTube et cinéma

Pour ce compte-rendu de lecture du mois de mars, j’avais pensé à deux angles d’attaque différents, que je vais finalement croiser.

En effet, je vais profiter de l’ouvrage qui m’intéresse aujourd’hui pour faire un petit point sur ma fréquentation et mes habitudes de la plateforme qui donne son titre à cet article.

Productrice ou consommatrice ?

Si je me penche sur les usages que je fais des réseaux sociaux sur lesquels je suis inscrite, je peux constater à chaque fois la même tendance : je m’inscris, je consomme, je produis, puis j’apprends à prendre de la distance, je redeviens spectatrice et je ne publie ou ne consulte que de manière très irrégulière…

Excepté Copains d’avant, ma première inscription sur un réseau social remonte à 2008 avec Facebook, je me suis ensuite inscrite sur Twitter en 2012, à peu près à la même époque j’ai commencé à consulter des vidéos sur YouTube et mon premier post sur Instagram remonte à 2019. 

Mon pic d’utilisation de Facebook remonte certainement à avant mon inscription sur Twitter, et si je continue à me connecter au moins une fois par jour, je ne poste plus grand chose, contrairement à Instagram que je lui préfère désormais, pour un usage exclusivement personnel, et où je ne poste que des photos de repas, de livres et de visites touristiques principalement. 

Concernant Twitter, c’est encore celui (malgré Elon Musk) que j’utilise le plus pour ma veille, puisque j’anime ou co-anime d’une manière plus ou moins suivie 4 comptes Twitter.

J’avais créé un compte sur Mastodon qui a vu son nombre d’abonnés frémir en octobre 2022, mais j’avoue ne pas y mettre les pieds, et je serais bien en peine d’en saisir à nouveau le fonctionnement si je devais m’y replonger. 

Néanmoins mon usage de Twitter est beaucoup moins compulsif qu’à une époque où j’y étais complètement accro…

Enfin concernant YouTube, j’ai commencé en 2012 par regarder les vidéos du Joueur du grenier (alors que je n’étais pas du tout gameuse) avec une préférence pour ses hors-série, je regardais des vidéos de vulgarisation qui touchaient à des domaines très divers, et j’ai brièvement publié des vidéos entre 2014 et 2016. 

Sur YouTube, comme sur les autres réseaux, j’ai commencé par tâtonner avant de trouver les vidéos et les chaînes que j’allais suivre avec assiduité, principalement des chaînes d’histoire, ce qui reste encore aujourd’hui les vidéos que je regarde le plus, et non des vidéos sur le cinéma comme on aurait pu s’y attendre.

YouTube cinéphile

Pendant très longtemps, les vidéos que je guettais dès leur sortie sur le cinéma étaient celles du Fossoyeur de films et celles de Blow Up, de la chaîne Arte, qui fait toujours mes délices à l’heure actuelle, et qui n’est pas sans rapport avec le livre qui m’intéresse aujourd’hui.

Il s’agissait vraiment très spécifiquement des deux chaînes ciné que je ne loupais pour rien au monde.

Les autres chaînes cinéma ne captaient pas aussi radicalement mon attention, je pouvais regarder quelques vidéos sans forcément en devenir une fidèle habituée.

D’autres chaînes dont la finalité première n’était pas forcément le cinéma l’abordaient cependant dans quelques vidéos pour mon plus grand plaisir, comme deux chaînes que je continue encore à suivre, celle de Nota Bene (histoire) et celle de Gastronogeek (cuisine).

De temps en temps, je tombais aussi sur quelques pépites isolées d’une chaîne YouTube trouvée au hasard, je guettais les vidéos suivantes, pour finalement découvrir qu’il faudrait savourer la rareté, voire se contenter des vidéos existantes quand elles sont toujours en ligne (c’est le cas de la chaîne de Ginger Force, celle de Fabien Campaner ou celle de Mr Meeea).

Comme tout abonné qui se respecte, j’ai de temps à autre accueilli avec plaisir les autres initiatives et travaux des YouTubeurs auxquels j’étais le plus attachée. Concernant le cinéma, c’est donc tout naturellement que T’as vu le plan ? de François Theurel figure dans ma bibliothèque.

On connaît les vidéos, on achète le livre. Concernant ma lecture de ce mois-ci, c’est cependant l’inverse qui s’est produit.

Le livre qui fait découvrir la chaîne

Lorsque j’ai terminé le livre dont je vais parler dans un instant, j’avais deux idées sur la façon dont je pourrais en parler.

La première, vous venez de la lire, c’était de questionner mon rapport à la plateforme de vidéos en ligne YouTube, et de voir dans quelle mesure le cinéma avait sa place dans mes abonnements à des chaînes… une place toute relative, comme vous avez pu le constater.

La seconde, c’était de faire en sorte d’écrire cet article pour le mois de mars, où j’ai souvent envie de mettre des femmes à l’honneur, qu’il s’agisse des autrices qui ont écrit les livres dont je parle, ou des actrices, réalisatrices, scénaristes auxquelles vont être consacrés mes articles.

Ce n’est pas forcément systématique : pour rédiger l’article de mars 2022, je me suis replongée dans les articles des mois de mars antérieurs, et je ne m’étais tenue à cette discipline (le terme est peut-être un peu trop fort) que deux fois sur les cinq dernières années… l’an dernier pour la BD de Catel et Bocquet consacrée à Alice Guy, et en 2018 avec l’article « Femmes au cinéma« .

Bref, j’avais tout de même envie d’en faire un nouveau rituel, et de m’efforcer sur Cinephiledoc de parler de livres écrits par des femmes ou consacrés à des femmes au mois de mars, et l’on verra l’an prochain si je m’y tiens.

D’autant que ce fameux livre qui tarde encore à arriver représentait pour moi un champ que je n’avais encore exploré : celui des YouTubeuses qui parlent de cinéma.

Je l’ai dit un peu plus tôt, parmi les YouTubeuses que je suivais, il n’y avait que Ginger Force (dont les vidéos ne sont désormais malheureusement plus disponibles en ligne) pour parler de cinéma.

Récemment, je n’avais pas pris la peine d’essayer de découvrir de nouvelles chaînes, même s’il est vrai que de nombreuses chaînes que j’avais plaisir à suivre ont depuis un moment déjà cessé leurs activités ou se sont tournées vers d’autres activités et d’autres formats… comme la cultissime Parlons peu, mais parlons ! des non moins fabuleuses Maud Bettina Marie et Juliette Tresanini.

C’est donc en fréquentant une librairie et non en naviguant sur YouTube que j’ai découvert le livre (et la chaîne) de Mélanie Toubeau.

T’as la Ref ? … et bien non !

En furetant dans le rayon cinéma de cette librairie, je suis tombée sur cet ouvrage, publié chez Hors collection en octobre 2022 : T’as la Ref ? : Un film peut en cacher un autre, de Mélanie Toubeau.

Après l’avoir pris en photo et posté sur Instagram au moment de ma lecture, c’est une amie qui m’a clairement fait comprendre que, si j’avais généralement les ref évoquées dans le livre, je n’avais pas la principale, et je ne connaissais absolument pas la chaîne de Mélanie Toubeau, La Manie du cinéma, ignorance que je me suis empressée de combler entretemps.

J’ai donc fait pendant quelques jours des allers-retours très sympathiques entre son ouvrage et sa chaîne, et ça ne faisait que rendre encore plus savoureux les allers-retours entre les films qu’elle évoquait et leurs sources d’inspiration.

Car c’est bien de cela qu’il est question dans son livre : les références entre les films, et les citations. Comment Blade Runner de Ridley Scott fait référence à Metropolis de Fritz Lang, comment Chicken Run propose une réécriture de La Grande évasion, comment La La Land rend hommage à Chantons sous la pluie, ou encore comment George Lucas est un fan absolu d’Akira Kurosawa.

Avec la chaîne YouTube et le livre de Mélanie Toubeau, on passe de l’agaçant « attends mais ça je l’ai déjà vu quelque part et je l’ai sur le bout de la langue » à l’inévitable « bon sang mais c’est bien sûr ».

J’ai retrouvé dans ce livre et dans cette chaîne le même petit bonheur des associations d’idées que j’affectionne dans Blow Up, où je scrute chaque semaine les films qui parlent de cheveux, d’escaliers ou de bowling… à la différence que l’association ne se fait plus en sautant d’un film à l’autre mais bien par les échos à l’intérieur d’un film.

Dans T’as la Ref ?, Mélanie Toubeau dissèque ainsi 40 films, leurs sources d’inspiration et les films qu’ils ont à leur tour inspirés, allant même jusqu’à glisser les épisodes des Simpsons où ces films apparaissent (Jurassic Park, Matrix, The Shining).

L’ouvrage est sacrément bien illustré avec affiches et plans, et donne pleinement à voir les jeux de miroirs entre deux films, voire plus.

À intervalles (presque) réguliers, elle glisse quelques pages consacrées aux références cinématographiques : la référence ou le plagiat, les clichés au cinéma, le cri de Wilhelm, les affiches du Festival de Cannes. Elle propose même deux petits jeux dans le livre que je ne spoilerai pas ici.

Lorsque l’on referme le livre, il nous reste deux petits regrets, l’un purement matériel – sur certaines pages partiellement imprimées en noir, l’encre blanche est illisible (petit défaut d’impression, qui pourra être corrigé, je l’espère, lors des rééditions éventuelles) – et l’un de lecteur : celui d’avoir fini le livre.

Mon livre rangé, je suis donc retournée sur YouTube pour voir les vidéos que je n’avais pas encore regardées, et j’ai lancé un film… histoire la prochaine fois d’avoir la ref…

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