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Mois : octobre 2015

Octobre 2015 : séances et animations du CDI

Voici déjà l’article pour le mois d’octobre, qui, même abrégé par 15 jours de vacances, m’a semblé bien occupé. Durant ces quinze jours presque hivernaux, j’ai surtout dû gérer beaucoup de questions informatiques, assister à diverses réunions, mais j’ai tout de même pu faire quelques séances avec les élèves et mettre en place certains projets… quand d’autres sont encore en suspens et se concrétiseront peut-être au retour des vacances.

Questions informatiques au CDI

Durant cette quinzaine, j’ai connu des hauts et des bas. Commençons d’abord par un point largement positif : le changement complet du parc informatique du CDI, avec de nouveaux ordinateurs, tout beaux tout neufs, et pour moi, la possibilité désormais de travailler avec deux écrans !

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En effet le conseil général a décidé de doter le collège, et plus particulièrement la salle de technologie et le CDI, de 24 nouveaux ordinateurs. Évidemment, il a fallu dans l’urgence déménager tous les anciens ordinateurs (et le mien encore plus brutalement, puisque j’ai dû en supprimer tous les documents personnels et de travail accumulés depuis 3 ans).

En tout cas, le résultat est des plus satisfaisants, les élèves sont ravis et moi aussi.

Un peu moins fun, j’ai dû, pendant toute cette quinzaine, géré les problèmes liés à l’ENT, que j’espérais moins importants cette année, mais qui se sont révélés tout aussi accaparants : séances de première connexion avec les sixièmes, élèves des autres niveaux ayant, aux trois quarts, égaré leur mot de passe, et pour finir, problème de connexion entre Pronote et l’ENT, ce qui fait qu’à cette veille de vacances, nous sommes bloqués : ni les élèves, ni les parents ne peuvent accéder à Pronote… Quant aux services de maintenance académiques, ils me font parfois penser à la maison des fous dans Les Douze travaux d’Astérix !

Ces questions informatiques ont accaparé beaucoup de mon temps, mais j’ai néanmoins pu faire quelques séances.

Séances : sixièmes et UPE2A

Après moult péripéties (élections des délégués, grèves), j’ai enfin réussi à caler ma troisième séance d’initiation à la recherche avec les élèves de sixième. Cette séance est consacrée aux ouvrages documentaires. Suite à une longue discussion à Ludovia avec mon ami prof doc de @cdi_les_pres, j’avais décidé de réfléchir à une nouvelle façon de parler aux élèves de la classification Dewey, mais je n’avais pas encore eu une vraie bonne idée.

Tout ce que je savais c’est que je voulais essayer de captiver mes petits loulous avec quelque chose d’ambitieux qui leur ouvre l’esprit. Vaste programme, me direz-vous.

  • IRD séance 3

Concrètement, j’utilise comme fiche élève le document suivant : IRD 3 6E 2015 2016

En début de séance je fais un bref rappel du classement des fictions, puis j’expose le problème suivant : le CDI étant un lieu aussi étendu en connaissances que l’univers, comment faire pour s’y retrouver et organiser tout ce savoir ? Pour le coup, il paraît que j’ai une vision aristotélicienne, voire biblique, du CDI,  je met en parallèle les éléments suivants :

CDI // univers ; Documents // système solaire ; Livre // Terre ; Documentaire // Homme ; Information // Atome.

Une fois qu’ils ont réussi à me dire qu’il fallait classer les documentaires par thème, je leur explique la classification en utilisant les comparaisons avec un arbre généalogique et la boite de la vache qui rit. Lorsqu’ils ont trouvé les différentes classes, puis, en histoire, les ouvrages sur l’histoire ancienne, la Grèce ancienne, et enfin le livre ayant une certaine cote, je manque parfois de temps pour qu’ils puissent étudier l’intérieur du livre. Je leur propose alors un blind test dont j’ai piqué l’idée à Camille, sur son Traflablog. Un élève de chaque table va chercher un documentaire au hasard et me donne la cote, et je dois deviner de quoi parle le livre.

J’ai fini la dernière séance très exaltée, en plagiant notre cuisinier qui leur dit souvent « Buvez du lait, c’est bon pour la santé », avec une voix de stentor. J’ai repris à ma sauce l’expression, en m’exclamant « Lisez des livres, c’est bon pour la santé !!! »

Le document élève proposé, que j’avais déjà remanié depuis l’année dernière (l’aspect « Mon CDI est l’univers » n’y figurait pas), n’est cependant pas complètement satisfaisant. Pour certains, les élèves ne parviennent pas à saisir la métaphore entre CDI et univers, etc.

Mon collègue d’histoire m’a donc suggéré d’ajouter des images de CDI, documents, livres, documentaires et informations à relier aux autres éléments. Ma feuille va à nouveau changer l’an prochain !

Je n’ai pas eu le temps de leur montrer mes vidéos, j’en avais prévu deux, l’une sur l’histoire du classement des connaissances :

l’autre sur le classement des documentaires au CDI :

Qu’à cela ne tienne, ils verront les vidéos durant l’évaluation finale, réalisée en collaboration avec mon collègue de technologie, avant la fin du trimestre. Pour l’heure, j’ai décidé de les mettre à disposition dans les différentes zones du CDI, via des QR-codes, que j’ai affichés : QR codes vidéos IRD

  • Séances avec les élèves UPE2A

Mon collègue référent et moi avons repris notre projet impliquant les élèves non francophones. Ces derniers viennent une heure par semaine au CDI. Suite à une idée d’exposition en images, nous avons souhaité travailler sur un projet que nous avons nommé « S’exprimer, communiquer, représenter ».

Durant la première et la deuxième séance, les élèves ont réalisé des affiches avec dix mots qu’ils aiment, soit dans leur langue maternelle, soit en français, avec leur traduction dans le premier cas, et accompagnés d’un dessin représentant le mot. Les affiches réalisées sont vraiment magnifiques, en particulier celles d’une élève dont la langue maternelle est l’arabe (bien qu’elle n’en ait trouvé que cinq), et une autre parlant tamoul.

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Durant la troisième séance, ils ont évoqué à l’oral leur départ pour la France, récits qu’ils ont commencé à transposer à l’écrit, et dont nous feront des vidéos à la rentrée, grâce aux tablettes du CDI.

Voilà pour ces quelques séances.

Expositions

Pour ce mois d’octobre, j’ai laissé, évidemment, la mini-expo sur la coupe du monde de rugby, cette dernière se terminant pendant les vacances.

Photo 18-09-2015 09 09 18

Pour l’exposition en images, j’avais prévu une histoire de l’information, de la documentation et de la communication, mais que j’ai reportée au profit de l’exposition des travaux des élèves UPE2A.

Semaine du goût

Pour la grande expo, enfin, j’ai désinstallé l’exposition consacrée à la Fête de la science pour une exposition sur la Semaine du goût, avec principalement des livres de recettes de cuisine des différents pays, ainsi que des affiches et des brochures que m’avait donné l’infirmière.

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Comme d’habitude depuis septembre, je propose également des QR-codes avec :

  • des recettes de cuisine en chanson (le pudding à l’arsenic de Astérix et Cléopâtre, le cake d’amour de Peau d’âne)
  • une vidéo sur la cuisine au cinéma, la version numérique du Ventre de Paris de Zola, une étude de nature morte
  • enfin une sélection de vidéos de C’est pas sorcier sur le chocolat, les bonbons, la cuisine et la nutrition.

Ces QR-codes sont à retrouver ici : Expo semaine du goût QR codes

Je n’ai toujours pas exposé les nouveautés du CDI pour septembre / octobre, mais je pense caler ça avant les vacances de Noël.

Ateliers

Je suis passée dans quasiment toutes les classes (excepté les troisièmes) pour présenter l’atelier Twitter, les affiches étant très peu regardées par nos élèves.

J’ai un certain nombre d’élèves intéressés (une vingtaine environ), que je compte relancer à la rentrée pour démarrer officiellement l’atelier.

Pour le présenter, j’ai expliqué aux élèves qu’ils seraient les ambassadeurs du collège sur l’extérieur et sur internet, qu’ils posteraient des tweets sur ce qui s’y passe et sur ce qu’ils aiment, sur la culture et l’orientation, sur l’actualité locale, et qu’ils échangeraient avec d’autres élèves d’autres collèges (s’il y a des collègues intéressés par de tels échanges, indiquez-le moi en commentaire !).

J’ai « pré-recruté » surtout des 5e et des 4e, mais aussi quelques petits choupinous de sixième, dont l’une connaissait parfaitement le fonctionnement de Twitter, hashtag compris.

Cet atelier remet du baume au cœur et fait oublier les péripéties ENTiennes.

Réunions et projets (en cours ou à venir)

Ce mois-ci, j’ai assisté ou animé quatre réunions :

  • une micro-réunion sur l’organisation de l’épreuve d’histoire des arts animée par ma collègue d’arts plastiques ;
  • la réunion de rentrée des professeurs documentalistes du bassin ;
  • une réunion sur le contrat d’objectifs du réseau (le collège fait partie d’un réseau de réussite scolaire) avec les professeurs des écoles maternelles et primaires ;
  • une micro-réunion sur le site internet du collège que j’ai moi-même animée.

Enfin voici les quelques projets dans lesquels je compte m’impliquer et qui sont, soit amorcés, soit au stade de la discussion :

  • un nouveau site internet d’établissement ;
  • la séance 4 d’initiation à la recherche documentaire, consacrée à la recherche sur Internet, et que j’ai beaucoup remaniée ;
  • la participation des élèves de sixième au défi Babelio ;
  • un projet autour de la COP21 avec mes collègues de sciences ;
  • une sensibilisation des élèves de sixième contre l’addiction aux jeux-vidéos et aux écrans ;
  • un partenariat, entièrement à mettre en place, avec la médiathèque de la ville, et auquel il faut que je réfléchisse sérieusement.

En attendant, pour ceux qui en ont la chance, passez de bonnes vacances, si possible ensoleillées et reposantes.

En attendant le réveil de la force…

Le 16 décembre, le 16 décembre, le 16 décembre… Si j’ai un peu du mal, de tête, à faire le décompte, je suis comme beaucoup à vouloir que cette date se rapproche le plus vite possible.

Certains sont suffisamment opiniâtres pour faire un compte à rebours. Je m’y mettrai sans doute quand je verrai qu’il reste moins de 30 jours, ou mieux, lorsque nous serons au 1er décembre, et j’imaginerais presque un calendrier de l’Avent exclusivement dédié à cet événement : la sortie de Star Wars, épisode VII.

Car c’est bien cette date-là que des milliers – et je n’hésite pas à dire des millions – de gens attendent. Les puristes l’ont compris, les autres ont haussé les sourcils et resteront perplexes voire hostiles.

Tant pis pour eux ! Comme beaucoup d’autres, j’ai savouré avec bonheur les premières bandes-annonces tant attendues :

Comme beaucoup d’autres, je vais calmer l’attente en revoyant tous les épisodes de la saga, même s’il faut en passer par l’épisode I et Jar Jar Binks et l’épisode II avec Padmé et Anakin qui se roulent dans l’herbe.

J’arriverai bien évidemment trop vite à l’épisode VI, et il me faudra encore patienter avant de pouvoir découvrir ce nouvel épisode, et retrouver Han Solo, Chewie, Luke et Leia…

Alors oui, vous l’aurez compris, durant cette période d’attente, je fais la joie des éditeurs et j’observe ce qui sort en librairie sur Star Wars.

Star Wars dans ma bibliothèque…

Si je fais un rapide recensement de l’existant, en tout cas dans ma bibliothèque, je trouve trois types d’ouvrages qui abordent Star Wars de près ou de loin :

  • ceux qui lui sont exclusivement consacrés. Outre le livre dont je vais parler dans quelques instants, j’en ai trouvé deux : Générations Star Wars, publié chez Hors collection et faisant la chronique des presque 30 ans qui séparent l’épisode IV de l’épisode III ; et Star Wars : aux origines du mythe, un superbe livre qui présente les travaux des illustrateurs ayant collaboré avec George Lucas.

star wars

  • ceux qui traitent du genre cinématographique dont Star Wars fait partie. J’en ai retenu deux en particulier : Sciences et science-fiction, un ouvrage que j’avais déjà évoqué dans un de mes hors-série de l’été 2014 ; et Cent ans et plus de cinéma fantastique et de science-fiction, de Jean-Pierre Andrevon, un spectaculaire et incontournable pavé sur le sujet, également mentionné dans un article du blog

100-ans-et-plus-de-cinema-fantastique-et-de-science-fiction

  • enfin, les livres qui évoquent moins cet univers que son public et ses amoureux, et je pense surtout à l’excellent livre de David Peyron, Culture Geek. Il y a aussi le Gastronogeek, sur lequel je reviendrai en fin d’article. J’ai enfin quelques ouvrages qui évoquent Star Wars à titre d’exemple, pour la musique de films ou pour les décors… et je pense avoir fait à peu près le tour, même si les références sur Star Wars se comptent par dizaines et même si ma bibliothèque fait pâle figure à côté…

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Quant aux ressources en ligne, évidemment il y a pléthore :

Bref, que je vadrouille en ligne ou que je parcours ma bibliothèque, j’ai (presque) de quoi ronger mon frein… Et je peux aussi me plonger dans les publications récentes des éditeurs qui surfent sur la vague.

Don’t feed the troll

Cette fois-ci, cependant, je ne me suis pas lancée dans la lecture de ce qu’on appelle, par abus de langage selon moi, un « beau livre » : j’ai choisi un petit ouvrage, modestement illustré, sans fac-similés et autres trésors déterrés, mais tenant dans un sac et prompt à donner envie de revoir l’un ou l’autre des épisodes et de suivre tel ou tel personnage de la saga.

Il s’agit de Star Wars : une saga, un mythe, de Laurent Aknin, paru en septembre 2015 aux éditions Vendémiaire.

star_wars

J’ai choisi ce livre à la fois pour son sujet, plus prosaïquement pour sa taille, et aussi parce qu’il était l’œuvre d’un auteur que je connaissais déjà, puisqu’il avait publié en 2012 Mythes et idéologie du cinéma américain, réédité chez Vendémiaire en 2014, et dont le compte-rendu sur le blog avait suscité un débat légèrement houleux.

Sources : http://www.livres-cinema.info/livre/5625/mythes-et-ideologie-du-cinema-americain

J’ai décidé de lire à nouveau un livre de Laurent Aknin, et d’observer si j’en ressortais avec le même ressenti que pour son opus précédent, qui, ma foi, m’avait beaucoup plu, mais qui ne faisait pas l’unanimité dans les commentaires de l’article que je lui avais consacré.

Et comme notre ami a l’air de nourrir une passion pour les mythes, j’ai eu l’impression que celle-ci était contagieuse, je lui ai donc laissé sa chance.

Un abécédaire non exhaustif de Star Wars

Cet ouvrage, Star Wars : une saga, un mythe, n’ambitionne pas de couvrir de manière synthétique l’ensemble de l’univers réalisé puis produit par George Lucas.

Il cherche cependant à comprendre de quelle manière Star Wars constitue un matériel cinématographique à la fois profondément original (une double et bientôt une triple trilogie, un film issu de l’imaginaire d’un auteur mais commercial, une œuvre destinée aux enfants aussi bien qu’aux adultes…) et s’appuyant sur, comme l’annonce la quatrième de couverture, le « plus vieux fonds légendaire de notre humanité ».

Sous forme d’abécédaire, il va donc tout autant décoder les racines des Jedis, de la Force, l’influence du mythe arthurien ou des cultures asiatiques sur la saga, et le fait que Star Wars fait désormais figure de mythe à part entière, avec produits dérivés et univers étendu.

L’ouvrage s’ouvre sur le processus d’ « agnition » (reconnaissance de deux personnes ou plus, avec notamment la célèbre phrase de Dark Vador (Darth Vader) à Luke Skywalker, « Je suis ton père »), et se ferme, comme il se doit, avec la figure de Yoda.

On y retrouve d’autres entrées, dédiées aux personnages, ainsi que l’explication de plusieurs points emblématiques de la saga : combats, couples, droïdes, élu, empire et dictature VS république et démocratie, fantasy et science-fiction, immortalité, initiation, ordre Jedi, padawan, religion, ou encore sabre.

Avantages et inconvénients de l’abécédaire

L’avantage de ce livre est qu’il offre une vision synthétique et très accessible de l’univers de Star Wars, même pour celui (voire surtout pour celui) à qui cet univers est complètement étranger.

Les références sont claires, le propos bien documenté, et pour le spectateur averti, le texte de Laurent Aknin est une excellente mise en bouche à un revisionnage scrupuleux des six épisodes actuels de la saga.

Cependant, j’ai relevé deux petites faiblesses dans le projet de l’auteur. La première, c’est que le fan absolu de Star Wars – ou même celui qui a une vision ne serait-ce que distanciée et cultivée de l’œuvre – va certes apprécier de retrouver tous ces éléments familiers, mais qu’il ne va pas forcément y faire beaucoup de découvertes.

Personnellement, j’aurais aimé que l’auteur approfondisse davantage et se pose plus en spécialiste des mythes (d’un point de vue littéraire et culturel) qu’en critique et historien de cinéma. Certes, j’ai appris des choses, ou plutôt l’auteur a confirmé ce que je pressentais des influences de George Lucas, mais il m’a aussi laissée quelque peu sur ma faim…

Et cela tient principalement à la forme que prend son ouvrage, ce qui en constitue la deuxième faiblesse. Certes, le fait d’organiser le livre en abécédaire permet un cheminement facile du lecteur et une lecture non linéaire.

Mais justement, au lieu d’un propos linéaire et plus approfondi, ce qui faisait la force du précédent texte de Laurent Aknin, Mythes et idéologie du cinéma américain, les différentes entrées m’ont fait ressentir les répétitions de certaines d’entre elles, et de certains angles d’attaque de son propos : ordre Jedi, chevalerie, et padawan, les nombreuses occurrences du mythe arthurien, l’influence des samouraïs et du bushido, pour ne citer qu’eux…

J’ai cependant bien conscience qu’il est très facile (trop facile) de critiquer un livre sur sa forme, et l’auteur rappelle parfaitement en introduction le caractère subjectif et non exhaustif de sa démarche. Il y évoque d’ailleurs de manière personnelle et, selon moi, très complice, son expérience cinéphile de la trilogie et de la prélogie.

Star Wars : une saga, un mythe reste, comme je l’ai déjà dit, une bonne entrée en matière et une bonne piqûre de rappel pour les amateurs de Star Wars, qu’ils soient eux-mêmes apprentis, chevaliers ou maîtres…

Vous avez dit mise en bouche ?

Pour finir, comme je l’ai mentionné plus haut, je reviens rapidement sur un ouvrage de ma bibliothèque qui évoque Star Wars sous un aspect culinaire. Il s’agit du Gastronogeek, que j’avais brièvement évoqué dans mon article de Noël dernier.

Gastronogeek

Dans ce livre de recettes consacré à l’univers geek, où se côtoient Le Seigneur des anneaux, Retour vers le futur et Doctor Who (pour ne citer qu’eux), le lecteur – cuisinier ou non – trouvera des idées d’expériences gastronomiques inspirées de Star Wars, à savoir :

  • la salade de la Lune forestière d’Endor ;
  • le Spatioporc de Mos Eisley ;
  • et le Dôme de Hoth.

gastronogeek-livre-des-potions

Très récemment (en septembre 2015), l’un des auteurs du Gastronogeek, Thibaud Villanova, et Stéphanie Simbo, ont sorti chez le même éditeur, Hachette cuisine, un deuxième ouvrage consacré aux recettes geeks, et cette fois-ci dédié aux boissons, soupes et autres milk-shakes, Le Livre des potions. Pour Star Wars, vous y retrouverez :

  • La Corellia, un cocktail à base de whisky, de bière ambrée et de cumin ;
  • et le Ragoût de racines de Dagobah.

D’ici le 16 décembre, je vous souhaite donc de bonnes lectures, de bons revisionnages ou de bonnes découvertes, et de bonnes expérimentations culinaires.

À très vite !

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